« Mainte perte ne devient grave que parce qu’elle n’est pas ressentie ».
Gunther Anders, Nous fils d’Eichmann, Rivages Poche, 2003, p. 33.
« Mainte perte ne devient grave que parce qu’elle n’est pas ressentie ».
Gunther Anders, Nous fils d’Eichmann, Rivages Poche, 2003, p. 33.